Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 03 juin 2007

Mes 3 engagements pour la démocratie

00:13 Publié dans A voir : Vidéo | Commentaires (0) | |  Facebook | |  Imprimer | |

samedi, 28 octobre 2006

Pourquoi l'UDF ?

Trois raisons principales m'ont conduit à toujours soutenir l'UDF :

1) en premier lieu l'Europe : il me semble que l'essentiel des problèmes qui se posent à la France aujourd'hui doivent être résolus au niveau européen. Défense et sécurite, croissance et création d'emploi, aide au développement et politique d'immigration, approvisionnement énergetique et protection de l'environnement, épidémie et santé, justice et lutte contre le grand banditisme : il n'y a même pas besoin d'entrer dans le detail des sujets pour comprendre à quel point il est abhérant de vouloir régler ces problêmes au niveau national. Le découpage des royaumes du moyen-âge n'est pas l'échelle pertinente pour rêgler les problèmes du 21ième siècle. Nous avons besoin d'une Europe plus démocratique, plus efficace et plus proche du citoyen. De tous les partis politiques Francais, seul l'UDF est franchement pro-européen.

2) L'équilibre entre le social et l'économique : contrairement à la gauche je ne crois pas que le libéralisme soit forcément néfaste. Il me semble que le libéralisme ne doit pas être combattu, mais mis au service de la création d'emplois qui permettront à plus d'individus de se développer et d'être indépendants. Contrairement à la droite, je ne fais pas confiance aux rêgles de marché pour servir les interêts des individus. Or ce sont bien les être humains qui doivent être au coeur des politiques. De tous les partis francais seul l'UDF comprend ce subtil équilibre entre l'économique et le social.

3) Enfin, je trouve abhérant les anathèmes que se lancent la droite et la gauche. Tout cela n'est qu'un cirque dont la France est la seule victime. Personne ne détient toute la verite : à charge pour chacun d'écouter les autres, de les respecter et de les comprendre. C'est par l'écoute et la compréhension que nous pourrons trouver des propositions plus efficaces. Ce travail d'écoute impartial a lieu dans 90% des conseils municipaux apolitiques : pourquoi cela n'est plus possible dès que les débats sont observés par les médias ? L'UDF est le seul parti en France qui ne juge pas les idées à l'étiquette de celui qui les énonce. L'UDF est le seul parti qui sait écouter, dialoguer et construire avec chacun quelques soit ses étiquettes politiques. Ce qu'on appelle chez nous "le parti libre".

Je ne suis pas toujours d'accord avec toutes les positions de l'UDF -par exemple, je n'ai pas d'opposition de principe à l'adhésion de la Turquie à l'Union Europeenne le jour où elle aura rempli les conditions et où nous aurons une Constitution. Loin de me décourager, ces divergences que j'ai parfois m'incitent à m'engager encore plus pour défendre mon point de vue en interne. Notre pays a besoin de beaucoup plus de citoyens engagés pour combler le fossé entre les partis et les citoyens. Quelques soient vos opinions, adhérez au parti dont vous vous sentez le plus proche pour changer les partis de l'intérieur.

Ces trois raisons qui m'ont incitées à m'engager à l'UDF : l'Europe, l'équilibre entre le social et l'économique et cette manière de faire de la politique, je crois que ce sont trois besoins urgents de la France aujourd'hui.

mardi, 24 octobre 2006

La scène et la salle

medium_la_scene.jpgIl me semble qu'il y a une déconnection de plus en plus grande entre la scène et la salle en France : la scène c'est tout ce qui est rendu plus visible par les médias, la salle c'est ce que chacun d'entre nous vit dans sa vie de tous les jours.

Il y a toujours eu un décallage important : quelque soit la bonne volonté des journalistes, ils ne pourront jamais synthétiser en quelques secondes la complexité de notre société. Celà est d'autant plus difficile qu'on leur accorde de moins en moins de temps.

Dans les années 60 nous n'avions pas nécessairement conscience de ce décallage. Du temps de de Gaulle, l'information était contrôlée. Les moyens de communication étaient limités. Nous n'avions pas aussi facilement la possibilité de communiquer avec des personnes aux quatres coins du pays qui vivaient des situations personnelles bien différentes des nôtres.

La liberté de l'information, la baisse des coûts des télécommunication et plus maintenant internet ont en quelques sortes allumé les projecteurs dans la salle. Désormais on s'apercoit plus facilement du décallage entre la simplicité des images chocs rapportées par les médias et la complexe réalité de nos vies.

Les élus de la nouvelle génération devront de plus en plus être dans la salle plutôt que sur la scène. Etre à l'écoute des gens plutôt que de proposer des idées toutes faites, préférer se faire insulter en allant à la rencontre des gens plutôt que de se faire flatter par les médias, organiser des réunions thématiques plutôt que d'annoncer dans la presse des permanences auxquelles personnes ne se rend.

S'engager pour ses convictions nécessite de se mettre au service des électeurs.

07:50 Publié dans Politique nationale | Commentaires (0) | |  Facebook | |  Imprimer | |