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dimanche, 30 septembre 2007

Un an de Portevoix

Voilà jour pour jour un an que j'ai commencé ce blog. Lieu d'échange sur la vie publique nationale, du Genevois et de notre commune de Saint-Julien-en-Genevois. Le temps de faire un petit bilan et de vous remercier pour votre fidélité.

 

Côté bilan, cette note est la 113ième note publiée sur ce blog. Il y a eu des hauts et des bas bien naturels, mais malgré tout j'ai réussi à conserver la discipline de vous faire part de certains points de vue sur notre monde, notre pays, notre région et notre commune. Vous êtes un peu plus de 100 visiteurs à venir chaque jour sur ce blog, et un peu plus d'un millier de personnes différentes chaque mois. Côté réactions vous avez aussi été fidèles avec en moyenne 3 commentaires par note. Un grand merci à Jean-François, qui même s'il a encore quelques progrès à faire dans sa capacité à comprendre des points de vue différents, y travaille hostensiblement puisqu'il revient régulièrement consulter ce blog. De manière plus générale, je pense que ce genre d'outil doit permettre un débat qui n'existe malheureusement pas assez dans la vie politique française. Je ne réponds pas toujours car je pense qu'un blog est efficace pour l'échange... mais pas du tout adapté au dialogue. Je préfère dialoguer en face à face.

 

Côté contenu, tout n'est pas parfait. Je me laisse parfois emporter par la passion et la polémique politicienne... et m'éloigne de l'objectif premier qui est de servir les gens. L'engagement partisan doit rester un engagement au service de tous et ne pas devenir une forme de sectarisme comme c'est trop souvent le cas. Là encore c'est une question de discipline quotidienne. L'erreur est humaine, l'important c'est de faire de son mieux (je vous recommande à ce sujet la lecture des quatre accords toltèques).

 

J'essaie dans ces notes de donner des points de vue personnels comme la note récente sur les victimes du 11 septembre. Je n'y arrive pas toujours... notamment durant les présidentielles.

 

Je crois que les responsables de manière générale et les politiques en particulier, doivent apprendre à avoir l'honnêteté de ne pas avoir réponse à tout. On ne progresse que lorsqu'on a l'humilité de reconnaitre ce que l'on ne sait pas. J'ai la conviction que la politique y gagnerai en crédibilité. 

00:05 Publié dans Blog | Commentaires (3) | |  Facebook | |  Imprimer | |

Commentaires

Cher Antoine,
Vous m'accordez trop d'importance en me citant dans l'un de vos billets, je vous en remercie néanmoins;
Saine lecture que les quatre accords toltèques, cependant plutôt que d'en conseiller la lecture vous auriez avantage à tenter d'en appliquer les principes et notamment le troisième "ne faites aucune supposition".
voyez-vous cher Antoine, ce que l'on attend d'un homme politique, ce sont des solutions, dés idées hors, à part vos humeurs, à vous lire pratiquement depuis vos débuts je ne trouve aucune solution aux problèmes de nos concitoyens dans vos billets; Comme si vous avanciez caché. Sortez de la critique systématique et vous trouverez rapidement une place dans la vie politique.
Pour revenir aux accords Toltèques et pour illustrer le premier précepte "QUE TA PAROLE SOIT IMPECCABLE"je vous offre ainsi qu'à vos lecteurs le poeme de Victor hugo " Le Mot"


"Braves gens, prenez garde aux choses que vous dites !
Tout peut sortir d'un mot qu'en passant vous perdîtes ;
TOUT, la haine et le deuil !
Et ne m'objectez pas que vos amis sont sûrs et que vous parlez bas.
Ecoutez bien ceci :
Tête-à-tête, en pantoufle,
Portes closes, chez vous, sans un témoin qui souffle,
Vous dites à l'oreille du plus mystérieux
De vos amis de cœur ou si vous aimez mieux,
Vous murmurez tout seul, croyant presque vous taire,
Dans le fond d'une cave à trente pieds sous terre,
Un mot désagréable à quelque individu.
Ce MOT - que vous croyez que l'on n'a pas entendu,
Que vous disiez si bas dans un lieu sourd et sombre -
Court à peine lâché, part, bondit, sort de l'ombre ;
Tenez, il est dehors ! Il connaît son chemin ;
Il marche, il a deux pieds, un bâton à la main,
De bons souliers ferrés, un passeport en règle ;
Au besoin, il prendrait des ailes, comme l'aigle !
Il vous échappe, il fuit, rien ne l'arrêtera ;
Il suit le quai, franchit la place, et caetera
Passe l'eau sans bateau dans la saison des crues,
Et va, tout à travers un dédale de rues,
Droit chez le citoyen dont vous avez parlé.
Il sait le numéro, l'étage ; il a la clé,
Il monte l'escalier, ouvre la porte, passe, entre, arrive
Et railleur, regardant l'homme en face dit :
"Me voilà ! Je sors de la bouche d'un tel."
Et c'est fait. Vous avez un ennemi mortel."
Victor HUGO

A bientôt de vous relire
Jean-François

Écrit par : jean-françois | mardi, 02 octobre 2007

Cher Monsieur,
j'apprécie d'avoir eu affaire à vous personnellement lors de votre porte à porte. Cependant, sur la carte que vous m'avez remise, n'apparaît pas clairement le parti politique auquel vous appartenez; si vous êtes "free lance", pourqui ne le mentionnez vous pas ?
salutations
Ivan Rocher

Écrit par : ROCHER | samedi, 26 janvier 2008

Bonjour Monsieur,

Merci pour votre remarque. J'appartiens au Mouvement Démocrate à titre personnel. La liste que je rassemble fédère elle des personnes qui ont diverses opinions sur la politique nationale mais s'entendent sur un projet de ville pour améliorer la qualité de vie. Par respect pour toutes les personnes de la liste qui ont d'autres points de vue sur les sujets nationaux, et parce que nous ne sommes pas là pour représenter un parti mais pour faire avancer la ville, nous avons décidé de ne pas mentionner de mouvement politique.

Il me semble que les questions municipales sont loin des questions partisanes : la circulation doit se faire autant à droite qu'à gauche (c'est nécessaire pour les trajets retour), l'accueil de la petite enfance doit se faire autant pour les droitiers que pour les gauchers et l'urbanisation ordonnée de la ville n'est pas une question de droite ou de gauche.

A votre disposition,

Salutations,

Antoine Vielliard

Écrit par : Antoine Vielliard | samedi, 26 janvier 2008

Les commentaires sont fermés.