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vendredi, 23 mai 2014

Dimanche, je vote pour les européens : Sylvie Goulard et Thierry Cornillet

Sylvie-Goulard.jpgDimanche, comme des centaines de milliers d'élus communaux à travers la France, je tiendrai un bureau de vote pour les élections européennes. Ces élections européennes déterminerons la composition du Parlement Européen qui vote les budgets et directives Européennes. Les enjeux de cette élection concernent le quotidien des habitants comme par exemple la valeur des pièces et billets qui sont dans vos poches ou encore les frais de roaming de votre téléphone. A plus long terme, cette élection détermine d'autres enjeux, notre capacité à faire valoir nos valeurs et nos modèles aux XXIème siècle, notre sécurité, la croissance de nos économies qui assure nos emplois, nos systèmes sociaux et l'avenir des jeunes.

Demain je voterai pour la liste UDI MODEM Les Européens conduite par Sylvie Goulard et Thierry Cornillet.

Je voterai pour les Européens car je suis convaincu que la plupart des enjeux qui se posent à la France devront être résolus par le renforcement de la cohésion européenne :

1) Notre capacité à développer nos emplois industriels dépend de notre capacité à mettre en place des politiques industrielles européennes comme le montre le succès d'Airbus. Pour cela nous avons besoin de plus d'Europe.

2) Notre capacité à assurer notre défense nationale dépend de notre capacité nous coordonner avec les autres pays européens. Nos armées nationales sont trop chères et insuffisamment équipées pour faire face aux menaces d'aujourd'hui. Pour cela nous avons besoin de plus d'Europe.

3) Notre capacité à faire face aux défis écologiques dépends de notre capacité à construire des politiques environnementales communes : Il est absurde de voir la moitié de l'Europe se satisfaire d'abandonner le nucléaire et l'autre moitié de l'Europe vendre à la première moitié une électricité nucléaire produite avec des centrales qui sont bien sur le continent. Les vents et les rivières se moquent éperdument de nos frontières du moyen-âge. Pour cela nous avons besoin de plus d'Europe.

4) Notre capacité à faire face aux flux migratoires dépend de notre capacité à contrôler ensemble les migrations en permettant aux migrants de vivre près de leurs proches. Les nations ne sont pas des parcs avec des murailles, et quand bien même ils le seraient, même les mers, les déserts et les océans sont des murailles insuffisantes face à la volonté de survie des migrants. Pour maitriser les flux migratoires nous avons besoin de plus d'Europe.

5) Notre capacité à imposer l'intérêt général face à la cupidité du monde moderne dépend de la force de l'union d'un continent. Nos pays lorsqu'ils sont divisés sont trop faibles face aux montages astucieux et immoraux des multinationales qui échappent au paiement de tout impôt. Nos pays lorsqu'ils sont divisés sont trop faibles face aux mafias et aux fraudeurs. Ce n'est que parce qu'ils se sont unis qu'ils commencent tout juste à enregistrer quelques succès face à la fraude et au crime organisé. Nos pays divisés sont faibles face aux banques, ce n'est que l'Union Européenne qui a su imposer un début de régulation nécessaire. Pour cela nous avons besoin de plus d'Europe.

6) Les contribuables français que nous sommes n'ont plus les moyens d'entretenir le plus grand réseau d'ambassades au monde. Pour que la voix de la France continue de porter, il faut que la France cesse de chanter toute seule et commence à chanter ses valeurs avec ses partenaires européens. Pour cela nous avons besoin de plus d'Europe.

7) Par ailleurs, nous avons aussi besoin d'une Europe plus forte pour contrôler le clientélisme des élus français incapables depuis 40 ans de maitriser les équilibres budgétaires et de préserver les générations futures d'une dette publique insupportable. Heureusement que nous avons eu l'Europe pour nous préserver un peu de nos propres dérives budgétaires. Il nous en faudra plus encore pour mettre un terme à cette escalade de la dépense publique qui se traduit par une escalade fiscale qui n'est plus maitrisée.

Bien sûr l'Europe doit être plus démocratique : c'est l'objet de ces élections européennes. Bien sûr l'Europe doit pouvoir décider plus facilement : pour cela, il faudra un jour faire baisser les seuils de décision pour empêcher les pays de bloquer l'Europe. Il faudra un Président de la Commission fort qui impose l'intérêt communautaire face aux volontés nationales. L'Europe ne doit pas être une Europe Allemande ou Franco-Allemande, elle doit être Européenne.

Oui, je suis convaincu que les enjeux majeurs du XXIème siècle pourront se résoudre à l'échelle des continents et pas à l'échelle des royaumes du moyen-âge.

Par ailleurs, je connais Sylvie Goulard et Thierry Cornillet. Ils ont été très actifs au Parlement Européen. Reconnus par leurs pairs. Sylvie Goulard est une femme d'une très grande valeur. Incisive, percutante, franche : voilà une député européenne comme on en a besoin. Je connais Thierry Cornillet depuis longtemps. Ancien maire de Montélimard, je l'avais invité il y a quelques années pour une conférence ici sur le traité constitutionnel européen. Je les connais et je leur fais confiance.

A demain, pour plus d'Europe !

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jeudi, 22 mai 2014

Frontaliers : des différences de pouvoir d'achat importantes

Hier soir, la Tribune de Genève organisait un débat sur le statut du frontalier. Un statut qui est en train d'évoluer considérablement avec les changements liés à l'assurance maladie, au barème d'imposition ou encore aux quotas qui pourrait être introduits suite à la votation du 9 février dernier.

L'actualité a ajouté à cela le sujet de la participation financière aux infrastructures transfrontalières. Un financement légitime puisque Genève reçoit plus des deux tiers des recettes fiscales transfrontalières.

A priori on pourrait penser qu'il n'y a aucun lien entre le statut du frontalier et le financement des P+R... pas si sûr !

Les frontaliers ont un pouvoir d'achat considérable. Pour le même travail - et même si on le rapporte à un temps de travail équivalent - le frontalier a une rémunération qui peut être supérieure de 50% à 100% par rapport à un salarié français. Rien de gênant à cela, libre à chacun de changer d'employeur, et comme le disent la plupart des salariés en euros : "tant mieux pour eux". La limite c'est lorsque ce surcroit de pouvoir d'achat se traduit par une surchauffe locale, une inflation locale et conduit par ricochet à une baisse du pouvoir d'achat des salariés en euros. Avec l'augmentation de +30% du francs suisse depuis quelques années nous y sommes : les salariés en euros ne peuvent plus vivre ici. Même certains d'entre eux qui travaillent à temps plein ne peuvent plus se nourrir ou plus se chauffer ! Au point que la situation en devient catastrophique pour les frontaliers eux-mêmes : il n'y a plus assez de facteurs pour distribuer leur courrier, plus assez de caissières, plus assez d'enseignants ou d'animateurs pour leurs enfants, plus assez d'infirmières ou de maçons.

Coté Suisse, les tensions s'accroissent aussi. Le logement des frontaliers coûte environ 30% de moins que le logement d'un résident genevois. Le poste représentant le tiers du budget des ménages cela crée un gain de pouvoir d'achat d'environ 10% entre un frontalier et son collègue. De nombreuses autres dépenses sont aussi moindres pour un frontalier. On pouvait évaluer la différence de pouvoir d'achat à près de 20% à 30% il y a quelques années. Elle s'est accentuée considérablement avec l'augmentation du taux de change. Dès lors les tensions s'accroissent entre collègues : à travail égal et salaire égal, le frontalier bénéficie d'un surcroit de pouvoir d'achat tellement colossale que cela en devient visible. Chacun voit les modèle de voiture et les plaques minéralogiques des uns et des autres : après avoir été alerté sur le sujet, je suis allé les voir dans les parkings genevois. Les collègues connaissent et comparent leurs destinations de vacances. Il devient dès lors inévitable que cela suscite quelques tensions. Cela donne l'image d'un territoire opulent, alors que pendant ce temps là, les collectivités publiques croulent sous le poids des investissements rendus nécessaires par une croissance démographique que Genève nous impose. Des investissements qui ne pourront se réaliser que si le Conseil d'Etat et le Grand Conseil trouvent des solutions de financement pérennes, rapides et durables au financement des infrastructures transfrontalières.

La réintroduction d'un peu plus d'équité sur les barèmes d'imposition et sur l'assurance maladie va aller dans le sens de l'apaisement de ces tensions dans l'intérêt de tous. Depuis cette année le taux d'imposition des frontaliers sera calculé par rapport au revenu total du ménage : c'est le cas des résidents genevois, c'est le cas des résidents français, et c'était déjà le cas depuis longtemps de la partie française des revenus des frontaliers. Il n'y a là que justice. Il est en revanche plus contestable de voir les autorités suisses imposer des revenus fictifs - même en France on ose pas faire des choses pareilles !-. Il doit y avoir d'autres solutions pour assurer le recouvrement a postériori des impôts des frontaliers.

La contribution des frontaliers à la solidarité de santé est aussi normale. Aussi douloureux que cela puisse être pour les frontaliers, il est normal qu'ils contribuent à la solidarité santé puisqu'ils en bénéficieront lorsqu'ils seront à la retraite ou lorsqu'ils seront gravement malades. Il est normal qu'ils paient leur assurance maladie à des niveaux décents.. qui resteront bien inférieurs à ce que paient leurs collègues genevois et leurs voisins français. La contestation de cette réforme par certains groupuscules frontaliers n'a fait que dégrader l'image de tous les frontaliers qui pourtant dans leur grande majorité comprennent la pertinence d'un tel changement. En revanche, comme tous les autres français, ils doivent pouvoir être soignés à proximité de leur lieu de travail. L'absence de parution d'un décret d'application à seulement 8 jours de l'échéance est un véritable scandale d'état. Les parlementaires de notre région aurait été plus utiles aux habitants à préparer en amont cette transition depuis 7 ans, plutôt que d'attiser la contestation contre une échéance qu'ils avaient pourtant eux même voté, qui était inévitable et qui est juste.

La double législation dans notre région crée une très grande complexité. La seule manière d'aller de l'avant est d'être fidèle au principe de justice dans tous les sens et vis à vis de tous. Si Genève perçoit l'essentiel des recettes transfrontalières, il est juste qu'elle contribue pour l'essentiel des charges publiques transfrontalières. Les principes de répartition de la contribution publique en fonction des capacités contributives de chacun doivent s'appliquer aux frontaliers comme ils s'appliquent aux résidents genevois et aux salariés en euros.

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jeudi, 15 mai 2014

Ces fantastiques mendiants frontaliers !

Ils sont fantastiques ces mendiants frontaliers !

Ce sont les seuls mendiants au monde qui travaillent. Ils travaillent même énormément puisqu'ils assurent à eux seuls 30% de la production économique du canton de Genève. Ils sont même acharnés au travail puisqu'ils passent pas loin d'une heure chaque matin et chaque soir à se rendre à leur travail et à en revenir. Ils voyagent même à l'international chaque jour pour travailler.

Ils sont fantastiques, ce sont les seuls mendiants au monde qui paient des impôts... et pas qu'un peu. 600 millions d'impôts à la source conservés par le canton de Genève. Les millions on a toujours du mal à savoir à quoi cela correspond, alors pour plus de clarté des petites divisions sont faciles à faire pour mesurer que les "mendiants frontaliers" apportent près de 1500 francs suisses de recettes fiscales direct par Genevois. Ce sont donc les seuls mendiants au monde qui plutôt que de mendier donnent 1500 francs par an à chaque Genevois qu'ils rencontrent dans la rue. Et encore, ils le font en toute discrétion au travers de prélèvement à la source. Ils ne demandent même pas à être remerciés... mais ils aimeraient tout de même qu'on arrête de les insulter. Et éventuellement que sur les 1500 francs qu'ils donnent à chaque Genevois chaque année par l'impôt à la source, une fois, seulement une seule fois, 7 francs puissent être consacrés à la construction de parking relais en France pour qu'ils ne dérangent plus avec leurs voitures lorsqu'ils viennent travailler à leur service. A votre bon cœur M'sieur Dames !

Ils sont fantastiques ces frontaliers, ils ne se contentent pas seulement d'apporter des recettes fiscales directes au travers de l'impôt à la source, ils apportent aussi des contributions indirectes au canton de Genève, au travers des 30% de contribution à la production et au travers d'une contribution importante à la consommation.

Ces mendiants là sont franchement des originaux : ils sont aux petits soins lorsqu'ils assurent la santé des Genevois, ils sont serviables lorsqu'ils servent les Genevois dans les restaurants et les hôtels, ils sont attentionnés lorsqu'ils conduisent les Genevois dans les bus. Fantastiques mendiants. Soyons clairs, les frontaliers ont autant besoin de Genève que Genève a besoin des frontaliers. Ces mendiants là sont franchement extrêmement qualifiés lorsqu'ils remportent des prix internationaux qui font la fierté des HUG.

Non seulement ils sont fantastiques mais en plus pour beaucoup ils sont Suisses. On pensait qu'il n'y avait pas de mendiants suisses et bien détrompez-vous : ces mendiants là sont Suisses aussi pour près de la moitié d'entre eux ! Ils ont été chassés de leur canton en raison de la dramatique pénurie de logements qui perdure. Ils continuent à payer des impôts à leur canton. Sont chassés des écoles du canton pour d'obscures prétextes de délais d'inscriptions. Ils commencent franchement à se demander ce que leur canton fait pour eux avec leurs 600 millions d'impôts à la source !

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jeudi, 08 mai 2014

Heureusement qu'on a des députés européens !

Heureusement qu'on a des députés européens pour mettre des limites à l'irresponsabilités des députés nationaux qui votent des budgets déficitaires depuis maintenant bientôt 40 ans !?!

Heureusement qu'on a des députés européens qui savent travailler avec les députés des autres groupes pour élaborer des règlements européens au service des habitants. Ca change de nos députés nationaux qui accusent la majorité de tous les maux lorsqu'ils sont dans l'opposition et la précédente majorité lorsqu'ils deviennent majoritaires !

Heureusement qu'on a des députés européens qui défendent des convictions solides et durables... cela change de nos députés nationaux qui sont pour la simplification du mille-feuille administratif et pour les réformes des retraites lorsqu'ils sont dans la majorité et contre lorsqu'ils sont dans l'opposition.

Heureusement qu'on a des députés européens qui ont travaillé depuis 20 ans à l'accès aux soins au delà des frontières... pendant que nos députés haut-savoyards reprochent à leurs "clients" du Groupement des frontaliers de n'être pas assez clientélistes faute de s'opposer assez fortement au gouvernement dans l'application d'une loi qu'ils ont pourtant eux-mêmes voté en 2006 ! Heureusement que les députés européens ont légiféré sur l'accès aux soins transfrontaliers, dommage qu'à quelques semaines de l'échéance, nos députés nationaux et le gouvernement sont responsables de l'absence de décret d'application d'une loi qui a pourtant 7 ans !

Heureusement que les députés européens ont permis la création de Groupement Local de Coopération Transfrontalière qui a permis le développement fulgurant des transports en commun transfrontalier, le financement du téléphérique du Salève ou encore les balbutiements de l'agglomération du Grand Genève... car pendant ce temps là, les députés nationaux n'ont pas apporté d'idées bien nouvelles sur l'organisation des territoires transfrontaliers... à l'exception peut être de l'idée d'une zone franche qui manque d'esprit de réalisme.

Heureusement qu'on a des députés européens et une commission européenne pour sanctionner les cartels, réduire et bientôt supprimer les frais de roaming... parce que de toute évidence, les députés nationaux en aurait été incapables.

Heureusement qu'on a des députés européens qui pourront déterminer qui sera le prochain président de la commission, parce que les députés nationaux, eux n'ont pas vraiment leur mot à dire sur le choix du Premier Ministre.

Heureusement qu'on a des députés européens représentatifs de tous les Français... cela change de l'Assemblée nationale où deux partis qui ensemble ne représentent que 45% des Français prétendent en représenter le double !

Heureusement qu'on a des députés européens et une commission qui ont élaboré une politique industrielle qui a permis la création d'Airbus et créé des centaines de milliers d'emplois directs et indirects, pendant que les députés nationaux poussent d'inutiles cris lorsqu'Alstom est en difficulté et se réjouisse du rachat de Parmalat.

Heureusement qu'on a des députés européens qui ont un vrai pouvoir d'initiative parlementaire pendant que nos députés nationaux eux se font de temps à autre des coups de pubs en publiant des communiqués de presse sur des propositions de lois qui sont rarement débattues et pratiquement jamais adoptées.

Heureusement qu'on a des députés européens qui n'ont pas hésité à voter un règlement qui conditionne leurs indemnités à leur présence effective durant les votes, parce que la présence des députés nationaux lors des débats se limitent trop souvent aux seules séances de question au gouvernement lorsque les caméras sont là et leur règlement est plutôt laxiste.

Heureusement qu'on a des députés européens qui connaissent un peu comment fonctionne une économie et auxquels on doit la disparition de l'inflation et la chute des taux d'intérêts, parce que peu de nos députés nationaux ont déjà vu fonctionner une entreprise de l'intérieur.

Bref, heureusement que l'Europe a un vrai Parlement... il serait peut être temps que la France, comme tous les autres pays européens, ait aussi un vrai Parlement.

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samedi, 03 mai 2014

Tu sais que t'es européen quand...

europe-drapeau.jpg

 

 

 

 

 

 

  1. Tu as une gare à moins de 50km de chez toi,
  2. Tu as pu voter à des élections il y a moins de 2 ans et qu'il n'y a pas eu de guerre chez toi depuis 70 ans,
  3. Tu as le droit d'aller vivre à Londres ou à Barcelone, à Götebord ou en Sicile quand tu veux,
  4. Quand tu peux pas suivre le Mondial de foot, tu as toujours la Coupe d'Europe et la League des Champions,
  5. Tu sais que tu peux être soigné partout en Europe quand tu es en déplacement,
  6. Tu peux travailler partout en Europe et quand même avoir une retraite dans ton pays,
  7. En 2015, tu ne paieras plus de frais de roaming,
  8. Tu paies tes crédits à des taux d'intérêt 3 fois plus faibles que quand tu n'étais pas européen,
  9. Dans ton pays, il y a encore de la concurrence sur les prix parce qu'aucun supermarché est en situation de monopole et que les cartels sont sanctionnés,
  10. Tes députés nationaux peuvent pas faire totalement n'importe quoi avec les déficits publics,
  11. Tu aimerais bien connaitre le nom du Président de la Commission Européenne,
  12. Ton pouvoir d'achat n'est pas diminué chaque année par une inflation à 10%,
  13. Tu peux être fier d'être sur un continent qui participe à la réduction des gaz à effet de serre, au traité sur la cour pénale internationale ou contre les mines anti-personnelles,
  14. L'Union Européenne ne dépense qu'1% de la valeur ajoutée que tu produits pendant que ton pays en dépense près de 50%.
  15. Tu peux utiliser ta monnaie partout dans le monde, et elle a jamais été dévaluée,
  16. Quand tu parcours 200km dans la même direction les paysages ont changé 3 fois et les accents, les dialectes ou les langues 2 fois,
  17. Dans ton parlement on parle 24 langues différentes et que cela fait 552 combinaisons possibles de traduction,
  18. Ton hymne national n'est pas un chant militaire mais un hymne à la joie,
  19. Tu te demandes pourquoi il faut 73,9% des voix pour qu'une décision soit adoptée et pourquoi 50% ne suffit pas comme partout ailleurs dans le monde,
  20. Tu te dis que les problèmes des habitants du XXIème siècle pourront être résolus à l'échelle des continents plutôt que des royaumes du moyen-âge,
  21. C'est chez toi que viennent près de la moitié des touristes dans le monde,
  22. Tu te sens chez toi aussi bien quand tu bois du vin, de la bière, du whisky, de la vodka, un pastis ou de l'ouzo.
  23. Tu as appris 2 lanques étrangères à l'école mais tu sais plus trop les parler !
  24. Dans d'autres pays, les gens ont le même passeport que le tien !
  25. Aux élections européennes du 25 mai, tu voteras pour des européens.

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vendredi, 02 mai 2014

Appel public à candidature

Bonjour,

Le Conseil Municipal est désormais installé et organisé par commissions thématiques, réunissant les conseillers municipaux désignés lors de la séance du 24 avril dernier. Ces commissions municipales se réunissent dès ce mois-ci pour mettre en œuvre notre projet de ville.

Nous devons maintenant installer également plusieurs commissions autour du Conseil Municipal. Je me permets de faire appel à vous. Peut être êtes-vous intéressé à participer à l’une des commissions suivantes :

1)      Le Centre Communal d’Action Social (CCAS) : ce sont les membres du Conseil d’administration du CCAS qui décident de l’attribution d’une aide d’urgence à des personnes qui font face à des situations exceptionnelles ou de soutien à des associations actives dans le domaine social. Le Conseil d’administration du CCAS est composé de 16 membres : pour moitié des Conseillers Municipaux et pour moitié des représentants d’associations et bénévoles qui agissent dans le domaine social. Nous désirons renforcer la représentativité et la diversité des membres du CA du CCAS. Si vous souhaitez faire acte de candidature, merci d’adresser un mail de candidature en précisant vos motivations, votre âge, votre adresse et votre profession à la Mairie Direction.Generale@st-julien-en-genevois.fr avant le 15 mai.

2)      La Commission Communale des Impôts Directs : la commission communale des impôts directs travaille avec les services fiscaux sur les bases d’imposition qui servent aux calculs de vos impôts. Elle donne un avis sur les réclamations reçues, signale les changements intervenus sur les propriétés bâties et non bâties. Son travail est décisif pour s’assurer de l’équité des taxes locales à St-Julien. Elle est composée de 8 titulaires et 8 suppléants choisis par les services fiscaux sur une liste de 32 candidats présentés par le Conseil Municipal. Si vous souhaitez faire acte de candidature à la Commission Communale des Impôts Directs, merci d’adresser un mail de candidature en précisant vos motivations, votre âge, votre adresse et votre profession à la Mairie à Direction.Generale@st-julien-en-genevois.fr avant le 15 mai.

3)      La Commission Communale pour l’Accessibilité des Personnes Handicapées : elle dresse le constat de l’accessibilité du bâti existant et des espaces publics (voirie…) et fait des recommandations. Elle établit un rapport annuel présenté au Conseil Municipal. Son rôle est particulièrement important pour planifier tous les travaux d’accessibilité que la Commune doit mettre en œuvre dans les prochaines années conformément à la loi. Si vous souhaitez faire acte de candidature à la Commission Communale pour l’Accessibilité des Personnes Handicapées , merci d’adresser un mail de candidature en précisant vos motivations, votre âge, votre adresse et votre profession à la Mairie à Direction.Generale@st-julien-en-genevois.fr avant le 15 mai.

4)      La Commission Communale des Services Publics Locaux : le Maire rend compte régulièrement auprès de la Commission Communale des Services Publics Locaux sur la qualité du service rendu. Les rapports sur la gestion de l’eau potable, de l’assainissement, du stationnement, ou encore du Casino de St Julien seront présentés à la CCSPL. La commission peut émettre un avis et des recommandations sur la qualité des services publics ainsi que sur les délégations de service public. Si vous souhaitez faire acte de candidature à la Commission Communale des Services Publics Locaux, merci d’adresser un mail de candidature en précisant vos motivations, votre âge, votre adresse et votre profession à la Mairie à Direction.Generale@st-julien-en-genevois.fr avant le 15 mai.

5)      Assesseurs ou secrétaire des bureaux de vote pour les élections européennes du dimanche 25 mai : Il s’agira de participer à l’organisation et la tenue des bureaux de vote sur une partie de la journée le dimanche 25 mai entre 8h et 18h. Si vous souhaitez tenir un bureau de vote aux élections européennes, merci d’adresser un mail  à la Mairie à Direction.Generale@st-julien-en-genevois.fr avant le mercredi 7 mai.

Par ailleurs, nous vous proposerons également de participer aux comités de quartier dans le courant du mois de juin.

Cordialement,

Antoine Vielliard

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