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mercredi, 01 mai 2013
Point d'étape sur mes engagements à 2 ans de mandat
Vous trouverez ci-dessous mon second bilan annuel de mandat pour faire le point sur les 31 propositions que je vous avais faites lors des élections cantonales de mars 2011. Il y a des avancées sur chacun des sujets. Comme toujours, il serait abusif de m'en attribuer tous les mérites : une société n'avance que par la contribution individuelle de chacun au travail collectif.
PORTEVOIX 2013 - bilan de année 2.pdf
Certains chantiers avancent comme les travaux d'aménagement du carrefour des mouilles à Neydens qui ont commencé cette semaine. Ce démarrage des travaux a été possible parce que des choix ont été faits qui ont mis fin à l'éparpillement des financements. L'aménagement du carrefour des mouilles permettra de sécuriser les arrêts de transports en commun et de transports scolaires et de favoriser les mobilités douces.
Les travaux du rond point du pont de combe, attendus depuis très longtemps, sont programmés pour le début de l'été. Ils dureront deux ans et permettront là encore une meilleure fluidité qui facilitera le développement des transports en commun.
A un niveau plus départemental, avec de nombreux autres conseillers généraux, nous avons contribué à l'essor de la politique de transports interurbains, à la stabilisation des taux d'imposition, à une meilleure prise en compte du fait genevois dans les politiques départementales et encore à une maitrise de la consommation des espaces.
Beaucoup reste à faire. Le travail continue.
Merci d'avance pour vos remarques et vos suggestions. Merci également de votre aide pour le partager avec les personnes de votre entourage qui s'intéressent aux enjeux de circulation, de logement et de préservation des espaces naturels et agricoles.
12:19 | Commentaires (0) | |
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lundi, 29 avril 2013
Confrontation : avec l'aile gauche du PS !
Alors que le gouvernement est à la peine, l'aile gauche du parti socialiste français revient à la charge. Il faudrait selon eux continuer à dépenser plus que la France ne gagne. Il faudrait selon eux continuer à accumuler des dettes pour les générations futurs. Il faudrait relancer la planche à billet. Augmenter les salaires alors que nos entreprises françaises ont déjà tant de mal à vendre à l'étranger. Il faudrait baisser les taux d'intérêts, raser gratis.. et même soyons fou, cesser de rembourser les dettes. Il faudrait engager une confrontation avec l'Allemagne. Renoncer à la rigueur. Cette rigueur qu'utilise chacun des Français dans la gestion de son budget, mais qui serait une honte lorsqu'on parle de fonds publics.
La seule véritable confrontation qui est vraiment utile à la France, c'est la confrontation avec l'aile gauche du Parti Socialiste. Même pas une confrontation des idées, mais simplement une confrontation avec la réalité. Une réalité absurde selon laquelle 1+1=2 et en l'occurence 0-1 = -1 ! La confrontation avec la réalité selon laquelle si la France a des déficits commerciaux avec pratiquement tous les pays de l'Union Européenne, l'Allemagne ou la Suisse au contraire ont des excédents commerciaux avec la Chine ! Une confrontation avec cette réalité incontournable que le droit du travail et les acquis sociaux ne sont des acquis que pour ceux qui ont l'extrême privilège d'avoir un emploi, mais ils se retournent en barrière à l'emploi pour les jeunes. Une confrontation avec cette réalité selon laquelle les dépenses publiques ne créent de l'emploi que lorsque ces dépenses sont utiles : ce n'est pas le cas en France avec un personnel politique clientéliste et pris dans des conflits d'intérêts multiples. Ce n'est pas le cas en France avec la multiplicité des privilèges exorbitants que défendent l'aile gauche du Parti Socialiste. Une confrontation avec la réalité de l'augmentation de l'espérance de vie qui doit nécessairement se traduire par une augmentation de l'âge de départ en retraite. Une confrontation avec la réalité que le colonialisme de droit et le colonialisme de fait de la Françafrique est terminé et que désormais la France devra fonder sa compétitivité sur ses compétences plutôt que sur la force.
Une confrontation avec la réalité d'un monde qui change. Un monde dans lequel la France a tous les atouts pour gagner car elle dispose des infrastructures de niveau mondial, de systèmes de formation d'un niveau mondial et d'un orgueil national qui a déjà su venir à bout des pires crises mondiales.
19:49 | Commentaires (2) | |
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