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vendredi, 28 juin 2013

Les espaces verts à proximité des immeubles de St Julien sont-ils suffisants ?

Les espaces verts à proximité des immeubles construits avant la municipalité actuelle disposent de larges espaces verts. Ces espaces verts donnent à la ville un peu d'aération. Ils permettent aux enfants de jouer, aux parents nouveaux venus dans la ville de faire mieux connaissance.

A l'opposé dans les nouveaux programmes construits récemment, la densité est excessive et ne prévoit plus d'espaces de respiration, de socialisation et de jeu pour les enfants.

Cette différence est particulièrement flagrante entre la résidence du Favernay juste derrière l'hôpital et ses larges pelouse... et le nouveau quartier de Paisy, juste à côté et ses larges espaces goudronnés, ses jeux pour enfants en plein soleil. Cette configuration du quartier a un impact sur les relations de bon voisinage. La volonté publique de construire les nouveaux logements dans les villes sera couronnée de succès seulement si les villes sont agréables à vivre. A Paisy, on observe une rotation importante des habitants qui après quelques années déménagent pour des communes plus rurales.

J'ai pu observer la semaine dernière à quel point ces espaces verts régulent aussi les températures : on suffoquait dans le nouveau quartier de Chabloux, tous les volets étaient fermés alors que les nombreuses zones ombragées du quartier du Puy St Martin rendaient les températures supportables.

Qu'en pensez-vous ? Pensez-vous que les espaces verts dans les nouveaux quartiers et les nouvelles copropriétés sont suffisants ou faut-il au contraire revenir à des proportions d'espaces verts que l'on observe dans les anciennes copropriétés ?

Habitants de St Julien, faites-nous part de votre avis et proposez à vos proches d'y répondre également avec notre grande enquête en ligne à l'adresse suivante :

http://www.mon-enquete-enligne.fr/index.php?sid=25276&...

Nous informerons le commissaire enquêteur de votre point de vue. Votre avis nous permettra de construire un meilleur projet de ville à votre service pour les élections municipales de mars 2014.

Vous pouvez aussi retrouver une version Pdf à imprimer ou faire suivre :

http://www.vive-saint-julien-en-genevois.fr/media/01/00/4...

 

jeudi, 27 juin 2013

Où les logements devront-ils être construits à St-Julien-en-Genevois ?

La croissance économique et démographique est forte dans notre agglomération. Elle conduit à une augmentation des prix des logements au détriment des jeunes. Nous devons donc construire des logements dans toute l'agglomération pour que les jeunes ne soient plus contraint de partir se loger plus loin et aggraver involontairement les problèmes de mobilité que nous constatons.

La préservation des espaces naturels et agricoles, la sauvegarde de notre mobilité collective autant que la maitrise des dépenses publiques de nos collectivités nous incite à prioriser la construction de logements dans les communes urbaines telles que St Julien, Collonges, Viry, Beaumont et Valleiry plutôt que d'urbaniser de manière répartie dans toutes les communes.

Bien sûr il est hors de question que St Julien continue de construire tous les logements que le canton de Genève refuse de construire, mais nous devrons assumer notre juste part de l'effort dans la construction de logements. Nous refusons de répliquer l'irresponsabilité aveugle qui consiste à chasser plus loin les jeunes pour ensuite se plaindre qu'ils viennent en voiture travailler !

Où pensez vous que ces futurs logements doivent être construits ?

Doivent-ils être construits en extension des hameaux comme le propose le Plan Local d'Urbanisme de la municipalité actuelle qui étend l'urbanisation dans les hameaux de Norcier, Thairy, Crache et Norcier ? Doivent-ils être construits dans les derniers terrains encore disponibles dans la ville à proximité de la résidence de Chabloux, près du nouveau parking public qui a été aménagé comme le propose également la municipalité ? Nous ne le pensons pas !

Nous pensons au contraire que ces logements devront être construits en priorité dans les espaces de rénovation urbaine comme à l'emplacement du hangar à sel en face de la gare (le PLU le propose également), en extension de la ville ou encore en densification de certaines zones de villa.

Mais vous ? Qu'en pensez vous ? Faites nous part de votre avis, nous en informerons le commissaire enquêteur et nous en tiendrons compte dans notre projet municipal pour les élections de mars 2014.

Répondez en ligne à l'adresse suivante :

http://www.mon-enquete-enligne.fr/index.php?sid=25276&...

 

08:21 | Commentaires (0) | |  Facebook | |  Imprimer | |

mardi, 25 juin 2013

Souhaitez-vous que soient préservés les espaces verts et les espaces agricoles à St Julien-en-Genevois ?

Nous souhaitons savoir ce que vous pensez de la préservation des espaces verts et des espaces agricoles à St Julien-en-Genevois.

Dans les documents d'urbanisme en vigueur il est dit que St Julien est une ville dans un écrin de nature. La formule est jolie.. pour décrire une réalité qui l'est un peu moins : selon ces urbanistes, dans notre commune la nature est déjà en dehors de la ville. Elle est à proximité, il n'y a donc pas besoin de faire tant d'effort pour préserver les espaces verts dans la ville. Je pense au contraire que le besoin de proximité à la nature est un besoin quotidien et pas un besoin hebdomadaire réservé aux dimanches ensoleillés. Les habitants ont un besoin vital de voir des arbres, des fleurs et des espaces verts. Qu'en pensez-vous ? Habitants de St Julien, donnez-nous votre avis :

http://www.mon-enquete-enligne.fr/index.php?sid=25276&...

De la même manière, chaque nouveau Plan Local d'Urbanisme (PLU) consomme un peu plus d'espaces agricoles. Le PLU qui vient d'être adopté par la municipalité actuelle consomme de nombreux précieux hectares. A ce rythme de consommation d'espace c'est la pérénité de l'agriculture locale qui est menacée. Avec elle c'est la qualité de nos paysages et de notre cadre de vie. Pensez-vous comme la municipalité actuelle que les espaces agricoles doivent être urbanisés petit à petit au cours des 20 prochaines années jusqu'à leur disparition ? Ou pensez-vous que ces espaces agricoles doivent être durablement protégés ? Donnez nous votre avis grâce à notre enquête en ligne sur l'urbanisme que vous retrouverez à cette adresse ci.

08:37 | Commentaires (0) | |  Facebook | |  Imprimer | |

lundi, 24 juin 2013

Des Assises transfrontalières adultes pour le Grand Genève !

Vendredi avait lieu à Nyon les 3ièmes Assises transfrontalières. Les Assises transfrontalières ont été crées il y a 3 ans par Guy Mettan (PDC/GE) alors qu'il présidait le Grand Conseil Genevois. Il avait fait le diagnostic pertinent que les exécutifs travaillaient ensemble à la résolution des problèmes transfrontaliers, mais les législatifs et délibératifs ne se connaissaient pas bien. Or c'est à eux que revenait au final le vote des décisions.

Son successeur avait repris l'idée, mais en la vidant de sa substance. Il avait refusé d'aborder la question du logement et avait imposé qu'on débatte de culture, pour être sûr de ne rien se dire d'urgent. Ces assises là avaient été un désastre auquel peu de personnes avait participé jusqu'au bout. A force de ne pas oser aborder les problèmes qui fâchent.. on finit par les laisser pourrir !

L'an dernier c'était au tour des partenaires français de les organiser. Cela devait être en pleine élections législatives et il ne s'est rien passé.

Vendredi venait donc le tour du canton de Vaud. Le thème choisi était le financement de l'agglomération. Nous étions une petite centaine : Maires, Syndic, Conseillers Généraux et Régionaux et Député de Genève, de l'Ain, de Vaud et de Haute-Savoie.

On a fait le constat des disparités institutionnelles : le canton qui est la base de la souveraineté côté Suisse alors que côté français la souveraineté est d'abord nationale puis déléguée aux collectivités sur la base de compétences. Parfois, notre language commun peut être un obstacle à la compréhension estimait le premier intervenant : des mots identiques tels que Maire, Commune, Canton recouvrent des réalités très différentes.

Pour ma part, j'ai souligné la disparité des moyens de part et d'autre de la frontière qui crée de profonds malentendus.

Pour la première fois depuis des années, il y a eu une réunion transfrontalière large au cours de laquelle nous avons osé parler d'un véritable enjeu de manière adulte et responsable !

Philippe Martinet, Président du Grand Conseil Vaudois, a fait une conclusion remarquable. Faisant le parallèle avec la révolte en cours au Brésil, il a alerté tous les décideurs présents sur le fait que la population de notre agglomération pourraient bien un jour estimer qu'elle n'en a pas pour son argent. Les habitants pourraient estimer que la résolution des problèmes transfrontaliers de logement, de mobilité et de préservation des espaces prend trop de temps !

Nous avons les moyens de financer l'agglomération. D'abord parce que notre agglomération est prospère, mais aussi parce que nous pouvons compter sur la générosité de l'Etat Français qui assume ses compétences tout en renonçant à la perception de l'impôt sur le revenu. Avec le prélèvement à la source de l'impôt des frontaliers, nous disposons ainsi de près de 800 millions de francs annuels supplémentaire par rapport à d'autres aggglomération pour nous financer. (250 millions qui vont à la Haute-Savoie et 600 millions de francs qui restent dans les comptes du canton de Genève).

Nous devrons simplement de part et d'autre de la frontière réorienter ces financements vers les priorités des habitants que sont le logement, la mobilité et la préservation des espaces. Ce sera des choix douloureux à faire. Mais des choix absolument urgents et décisifs au service des habitants. Il faut les faire avant que la colère qui monte ne se transforme en révolte !