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mercredi, 05 février 2020

St Julien est passé d'une situation financière dégradée à un triplement de ses investissements

Retrouvez chaque jour à 13h30 un élément de notre diagnostic de ville

En 2014, St Julien les finances communales étaient dégradées

En 2014, la situation financière de la commune était dégradée : le tirage d’une ligne de trésorerie de 5 millions d’euros juste avant les élections (soit presque un tiers du budget annuel) avait permis à la municipalité précédente de réduire l’affichage de sa dette, puisque les lignes de trésorerie ne sont pas comprises dans la dette communale. Cela avait conduit à une crise de liquidité en mai 2014 pour payer les salaires des agents de la commune. Au cours du mandat précédent, l’augmentation des dépenses de fonctionnement à un rythme deux fois supérieur aux recettes avait conduit à une réduction de moitié de la capacité de la commune à investir dans son avenir. Mais surtout l’absence de toute construction de salles de classes de 2000 à 2015 alors que les effectifs scolaires augmentaient de +30%, et alors que des permis de construire avait été délivrés en très grand nombre, a conduit à une crise de la capacité d’accueil dans les écoles.

St Julien a triplé le rythme de ses investissements pour rattraper son retard

St Julien a commencé à rattraper son retard en triplant le rythme de ses investissements. Cela a pu être possible grâce à une gestion rigoureuse des dépenses de fonctionnement (1 millions d’euros par an de capacité d’autofinancement), par un meilleur recensement des frontaliers (+2,3 millions d’euros de recettes annuelles) et par l’instauration d’une taxe majorée sur les promotions immobilières (+1,5 millions d’euros par an). La commune a dû demander à tous de participer aux efforts : agents communaux, associations, habitants. Elle a dû être particulièrement ferme sur les demandes particulières et individuelles. En contrepartie, cela a permis la réalisation de grands travaux tels que l’accès ouest, de nombreux travaux d’amélioration de voirie et des bâtiments ou encore les écoles Nelson Mandela. Cependant, une part très importante de notre capacité d’autofinancement a été absorbée par la hausse exponentielle des effectifs scolaires.

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