Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« Du va-et-vient permanent à un début de stabilisation des habitants | Page d'accueil | Richesse et pauvreté se côtoient à St-Julien-en-Genevois »

lundi, 10 février 2020

Stéphane Cuenca pour que Vive Saint-Julien-en-Genevois

Stéphane Cuenca, vive saint julien en genevoisOriginaire du Sud de la France, après avoir fait mes études infirmières à Paris, où j'ai exercé plusieurs postes dans les hôpitaux de l'assistance publique, je suis venu m'installer à Saint Julien en 2001, pour travailler dans diverses spécialités comme infirmier à Genève.

Quitter une ville comme Paris, avec son "speed", son stress, son insécurité, son individualisme et arriver dans une ville agréable, calme, où il fait bon vivre comme Saint-Julien-en-Genevois ne m'a pas donné envie de la quitter depuis 19 ans.

J'ai donc pu constater de près l'évolution de cette ville durant toutes ces années, où l'engagement du Maire était d'en faire une ville agréable et conviviale :

Mission plutôt réussie il me semble : raison pour laquelle j'ai décidé désormais de m'engager dans l'équipe "Vive Saint Julien" afin de participer au développement futur avec des projets à venir plus que passionnants .

J'ai pu faire la connaissance d'un groupe uni à l'écoute, motivé, dynamique et déterminé : tant de caractères nécessaires pour en faire une ville plus forte, chacun avec ses spécialités et ses expériences .

Pour ma part, et de par ma profession, mon intérêt se porterait bien entendu vers la santé et le social.

Dans un monde en perpétuelle évolution technologique, avec une société de plus en plus individualiste, revenir aux fondamentaux, c'est à dire les relations humaines, la solidarité, l'empathie me parait essentiel .

Face à une population vieillissante agrémentée d'une forte croissance démographique, dont Saint Julien n'échappe évidement pas, créer un lien solidaire entre nos aînés (de plus en plus isolés) et nos jeunes nous concerne tous.

Les commentaires sont fermés.